Novembre : boileau.be est mort. Vive boileau.pro et sa nouvelle maquette !

Quel est le bilan du déménagement de novembre ?

• Après un début de novembre laborieux, la fréquentation du site atteint, fin du mois, 550 visites mensuelles, avec un retour de 55 % des visiteurs.
  Ouf ! Malgré le déménagement, boileau.pro fait 10 % de mieux, en chiffres mensuels, que boileau.be
  Cap sur les 1000 visites mensuelles !
• Les lecteurs de l’ancien site ont été déboussolés. Nombre ont été perdus en route, dont des abonnés.
  L’image plus léchée effraierait-elle ? Quelle erreur fut-elle commise ? Je ne sais.
  Tous les lecteurs sont pourtant redirigés, sans qu’ils n’aient rien à faire, de boileau.be vers boileau.pro
  Tous les liens sur Google également.
• Le lectorat belge reste important (65 %). Le lectorat français est en forte croissance depuis 15 jours.
  Lecteurs canadiens et africains, nous allons vous conquérir !
  Salut à nos fidèles du Niger, d’Algérie, d’Egypte et du Mali.
• boileau.pro fait mieux que boileau.be en nombre de pages lues et temps passé sur le site.
  En moyenne, 8 minutes et 7 pages par visite.
  Le taux de rebond – 12 % – est excellent.

• Les commentaires restent rares. Timidité ?
  boileau va augmenter, dans ses articles, son taux d’erreurs de syntaxe et d’orthographe : chacun se sentira ainsi à l’aise pour écrire sans crainte.
  De toutes façons, les coquilles éventuelles des aimables correspondants sont corrigées.
  Qu’on se le dise…

Décembre ?

• Ben, on continue. Pardi ! De nouveaux articles et sujets sont en mûrissement.
• Le référencement et ses subtilités deviennent une priorité.
• Les services aux sociétés et particuliers sont encore à développer pour 2012  : j’ai des oiseaux à nourrir sur la terrasse, moi.

Et vous, ô lecteur, des idées ? Je les lis avec attention, une fort grande attention.

Si tu ne sais pas ce que c’est l’écriture, tu pourras croire que la difficulté est légère, mais si tu veux une explication détaillée, laisse-moi te dire que le travail est rude : il brouille la vue, courbe le dos, écrase le ventre, et les côtes, tenaille les reins et laisse tout le corps douloureux. (…) Comme le marin regagnant en fin le port, le scribe se réjouit d’arriver à la dernière ligne. De gratias semper.

Colophon de Silos Beatus (XII IIème siècle) cité par Georges Jean dans L’écriture Mémoire des hommes

________________________________________________________________

cliché : eb