Le masculin, oui, l’emporte sur le féminin. Toujours.

Mar 7th, 2012 | Par | Catégorie Opinion

En grammaire

Le masculin l’emporte sur le féminin. Toujours.

Des associations féministes ne le supportent pas. Qu’on en revienne à “la règle de proximité” !
Bon Dieu ! Que va-t-on chercher là !

Voici ce qu’en dit Sandrine Campanese dans le Nouvel Observateur.

Elle a de l’esprit.  boileau a son avis.

 

 

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photo :  Changing role patterns. The Netherlands, Haarlem, 1982.
Nationaal Archief. Spaarnestad Photo, SFA003007238
Feminisme, emancipatie, veranderende rolpatronen in het gezin. Moeder leest de krant, vader kookt, terwijl de kinderen (poppen) spelen.
Utilisation non-commerciale autorisée.
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5 commentaires to “Le masculin, oui, l’emporte sur le féminin. Toujours.”

  1. Luis dit :

    Pour des urinoirs AUSSI dans les toilettes des femmes. Les discriminations de genre, ça suffit !

  2. Mag à l'eau dit :

    Bon, la journée de la femme estpassée. Mais comme j’ai beaucoup écouté les Clash, j’ai envie de dire “fuck you” ! (ceci ne s’adressant pas à toi Étienne)
    Le début de l’article dont tu donnes le lien me fait grimacer : “Nous sommes en 2012, dans le pays des droits de l’homme et de la femme. L’égalité entre les sexes étant enfin acquise, les féministes s’ennuient ferme.”
    On va me rétorquer que c’est de l’humour, et que que comme toutes les féministes mal baisées j’en manque cruellement.
    Alors, tout d’abord, si mal baisée j’étais, la faute à qui ? (ça c’était pour l’humour)
    Ensuite, pour l’égalité acquise, je demande des preuves.

    Enfin, pour cette histoire d’accord selon « la règle de proximité », j’avoue que je ne vais pas me battre. Mais je trouve intéressant qu’on en parle.

    • Pour bien comprendre l’horreur des féminisations abusives (d’un point de vue linguistique que rappelle l’auteur de l’article [que je suis allé lire [l’article, pas l’auteur]]), il faut venir au Québec où les gens pour une raison qui me reste inexpliquée ne se contentent pas seulement de docteure, professeure, etc. mais trouvent moyen de prononcer la finale /reuh/.

      J’ai eu récemment le problème avec un texte que j’écrivais sur Google+ à propos de Julia Gillard, premier ministre démissionnaire (cause : misogynie [pas la sienne, bien entendu]). Pour ne pas avoir à choisir entre première ministre /treuh/ (ah, ah) et la forme employée ici, j’ai parlé de la fonction qu’elle occupait…

      Le problème demeure, car on ne peut pas s’attendre à ce que Joe Blow (le commun des mortels en américain) comprenne vraiment la différence entre le sexe et le genre. (Au fait, f.u.c.k. est désigné du terme « F word » ou de « four letter word », car ce n’est guère correct.)

  3. luis dit :

    Allez, une dernière. Dans “la Libre” de ce jour: “56% des mâles sont malhonnêtes quand ils déclarent leur flamme. L’alcool et l’envie de faire l’amour sont les deux principaux responsables de ce manque de sincérité”
    Vous avez remarqué ? On dit “Boire un coup” et “Tirer un coup”. Pas le contraire.

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